Il y a une branche qui est tombée de l'arbre mais c'est peut-être juste le vent. Des premiers pas, des rires et des fleurs pas payées. Des progressions, des attestations et des prise à tâtons. Un peu de soleil, des illuminations et des bourgeons verts pomme.
C'est avril au mois de juin et j'ai les doigts qui gèlent sous les pas des passants en shorts.
Des fois aussi ça jongle et c'est là qu'on trouve que le parc est trop petit. Les écureuils prennent des détours par les arbres, et wow, émerveillement, des animaux montréalais. Ça se perd, ça roche, ça suit les lignes et ça dort sur un banc de parc. C'est multiculturel et tu comprends pas tout.
Il y a des chiens et des sacs à dos trop grands pour eux, des cigarettes d'eucalyptus et un soleil qui fait semblant de se coucher. Des pauses où tout le monde semble de glace, des secondes de silence de fin d'après=midi, des remerciements et des adieux. Des fonds de canette de bière, des envies de pisser et des Glosettes au raisin.
Des pères qui impressionnent, des vélos qui reposent en barre et des chiens qui promènent leurs maîtres. Des restant de tam tams, un son de grelôtt et l'écho d'un pic-bois. Des réunions, des rencontres, des meetings, des matchs et des duos.
Et aussi des unisolos.
Des pages trops blanches, des yeux trop rouges et des bouteilles d'eau. Et le parc Lafontaine un samedi après-midi.
C'est comme prendre une photo avec des mots.
C'est avril au mois de juin et j'ai les doigts qui gèlent sous les pas des passants en shorts.
Des fois aussi ça jongle et c'est là qu'on trouve que le parc est trop petit. Les écureuils prennent des détours par les arbres, et wow, émerveillement, des animaux montréalais. Ça se perd, ça roche, ça suit les lignes et ça dort sur un banc de parc. C'est multiculturel et tu comprends pas tout.
Il y a des chiens et des sacs à dos trop grands pour eux, des cigarettes d'eucalyptus et un soleil qui fait semblant de se coucher. Des pauses où tout le monde semble de glace, des secondes de silence de fin d'après=midi, des remerciements et des adieux. Des fonds de canette de bière, des envies de pisser et des Glosettes au raisin.
Des pères qui impressionnent, des vélos qui reposent en barre et des chiens qui promènent leurs maîtres. Des restant de tam tams, un son de grelôtt et l'écho d'un pic-bois. Des réunions, des rencontres, des meetings, des matchs et des duos.
Et aussi des unisolos.
Des pages trops blanches, des yeux trop rouges et des bouteilles d'eau. Et le parc Lafontaine un samedi après-midi.
C'est comme prendre une photo avec des mots.
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